Présentation du Réseau pour la Psychanalyse à l'Hôpital - École de psychanalyse (RPH)
Comment devenir psychanalyste à Nanterre ?
Le Réseau pour la Psychanalyse à l’Hôpital – Ecole de psychanalyse poursuit deux objectifs majeurs :
- La formation théorique et clinique des psychothérapeutes, psychanalystes, étudiants de psychologie et de médecine.
- Proposer un lieu de consultation ouvert à ceux disposant de peu de moyens : la Consultation Publique de Psychanalyse.
Le RPH est né de l’expérience de Fernando de Amorim, psychanalyste. A la suite de ses recherches cliniques avec des malades souffrant de maladie organique grave dans les services de médecine et de chirurgie et avec la mise en place d’une méthodologie donnant lieu à une cartographie de la clinique, Fernando de Amorim avec d’autres, à souhaiter créer le RPH, lieu extérieur à l’hôpital mais en lien avec lui.
C’est pourquoi le RPH est engagé dans la recherche clinique afin de développer des modèles théoriques de réflexion articulés entre psychanalyse et le champ médical tout en respectant le champ opératoire dans laquelle la psychanalyse intervient et en reconnaissant ses limites.
Les premières publications des colloques du RPH témoignent de cet intérêt pour l'articulation entre médecine et psychanalyse et pour un retour à la clinique psychanalytique dans la clinique médicale.
Après la mort de Lacan, celle-ci à quitter progressivement les institutions publiques pour laisser place à une clinique qui ne tient plus compte du sujet.
Plusieurs publications de Fernando de Amorim, témoignent d'une clinique possible avec les malades organiques et des effets incontestables de la clinique de partenariat entre médecin, chirurgiens et psychanalystes.
C'est pourquoi l'enseignement du RPH se veut rigoureux et soutenu.
Le RPH propose une formation théorique et clinique aux cliniciens par le biais de :
- supervisions,
- groupes de lecture,
- séminaires,
- réunions cliniques
- colloques.
- journées d'étude
- débats publics
Cette formation est indispensable à qui veut soutenir cette position de psychothérapeute ou de psychanalyste.
En effet, le RPH pense que les titres universitaires, bien que nécessaires, ne suffisent pas à rendre compte de cette position transférentielle.
Ceux sont les dires du psychanalysant qui comptent avant tout et qui peuvent faire du supposé-psychanalyste un psychanalyste s'il y a sortie de psychanalyse pour le psychanalysant en question.
C'est donc, le patient ou psychanalysant qui vient nous signifier la position que nous occupons et cela peu importe les titres universitaires. Cette mise en avant de la parole du patient et du psychanalysant, vise à protéger la psychanalyse de l'égo du psychanalyste.
Vous souhaitez entamer une formation en psychanalyse dans les Hauts de Seine? Contacter Ouarda Ferlicot.